La France conforte sa cinquième place à l’indice UEFA

Tous les espoirs étaient permis à la fin de l’année 2023, avec les six clubs français toujours engagés en Coupes d’Europe. La Ligue 1 est depuis retombée sur terre. Rennes (face à l’AC Milan, 0-3, 3-2), Lens (contre Fribourg, 0-0, 2-3 a.p.) et Toulouse (devant Benfica, 1-2, 0-0) n’ont pas passé le cap des barrages de la Ligue Europa et le contingent tricolore a été divisé par deux. Dans la course à la cinquième place à l’indice UEFA, le duel face aux Néerlandais n’est donc pas encore gagné. Mais plusieurs motifs d’espoir existent. Les Pays-Bas, eux, ne comptent plus que deux représentants après la qualification de l’Ajax en C4 mais l’élimination de Feyenoord en C3 jeudi, le PSV étant encore engagé en C1 (1-1 contre Dortmund à l’aller).

Les points des Français toujours divisés par six

Pour avoir quatre qualifiés en Ligue des champions (trois directs plus un en tours préliminaires) ainsi que sept clubs sur la scène européenne au total en 2025-2026, comme en 2024-2025, la Ligue 1 doit ainsi rester devant l’Eredivisie à l’issue de cette saison. Et l’écart a encore grandi en ce début d’année pour atteindre 2,731 points d’avance en faveur des clubs de l’Hexagone (63,831 contre 61,100). Ces prochaines semaines ou mois, les points qu’ils accumuleront continueront d’être divisés par six, le nombre d’engagés en début d’exercice, contre cinq pour les Pays-Bas.

En tout cas, la L1 ne peut plus vraiment rêver de l’hypothèse d’avoir cinq clubs en Ligue des champions à partir de l’été 2025. Les chances de figurer parmi les deux meilleurs Championnats à l’indice UEFA sur la saison actuelle se sont envolés avec les déconvenues de jeudi, sachant que la France possède déjà du retard sur l’Espagne, l’Angleterre, et surtout l’Allemagne et l’Italie. Et chacun d’eux compte encore au moins cinq représentants.