Rukayya Adamu, négociante en graines de soja et activiste pour l’entrepreneuriat féminin
Rukayya Adamu appartient à la communauté Maiyama de l’État de Kebbi, au nord-ouest du Nigéria. Auparavant, elle vendait du bois. « C’était la seule chose que je pouvais faire. Je n’avais ni les compétences, ni l’argent pour me lancer dans un autre chose, » explique-t-elle.
Mais à présent, elle dirige une entreprise qui vend des graines de soja et garantit une source de revenus plus durable pour elle et sa famille.
Grâce à un groupe de femmes, soutenu par le projet Nigéria pour les femmes, financé par la Banque mondiale, Rukayya a été sensibilisée aux risques environnementaux associés au bois de chauffe et a également acquis des compétences pour identifier une alternative, plus profitable, à ce commerce.
« Grâce au programme Nigéria pour les femmes, j’ai découvert de nouveaux possibilités innovantes, qui m’aident à assurer des moyens de subsistance durable, » souligne-t-elle.
Après avoir reçu une formation en compétences financières de base, dynamiques de genres, compétences de vie et gestion des affaires, Rukayya pratique à présent une gestion financière informée, et contribue à la nouvelle orientation de sa communauté en faveur de pratiques durables et respectueuses de l’environnement.
Le groupe de femmes auquel Rukayya participe aide des milliers d’entre elles à devenir actrices du changement en encourageant l’adoption de moyens de subsistance durables pour une société plus verte. À ce jour, plus de 400 000 femmes ont bénéficié du programme à travers six États du Nigéria.
INFOGRAPHIE – Améliorer les moyens de subsistance des Nigérianes (a)
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