Les musiciens, un all stars !
Si le groupe en tant que tel est de 5 personnes, il ne faut pas oublier la multitude de musiciens qui font que cet album a ce haut niveau de qualité et pour cause. Des zicos aguerris avec de nombreuses années de pratique et qui ont travaillé avec les plus grands :
Christophe (Tuff) Laxenaire, claviériste depuis une vingtaine d’années (Queen Omega, Mark Wonder, Ras Daniel Ray, MC Janik, Lord Kossity, Tiwony, Yannis Odua, Straïka, Youss (ex Intik), Vin Gordon, Fundé, Colocks, Goûroôts) , et tant d’autres au travers de nombreux lives en France et à l’étranger…
Stanley (Fam’s) Hamilton, Bassiste depuis les années 80 (Lutan Fayah, Denis Alcapone, Echo Minott, Taurus Riley…)
Fabien (euh-Fa) Rault, batteur depuis plus de quinze ans (Kazba, KBD, Slums, Génobri, Gotham Project, Kaizen, Grézou)
David-Thierry (Tikitoko) Desert, percussionniste spécialisé dans le Gwona (Guive & the Ora, Mo’Kalamity, Max Livio, Pablo Anthony, Daman, Max Romeo, Brahim)
Nicolas (Nicodrum) Belquet, Percussionniste depuis 15 ans et fabriquant de percussions rastas (Touré Kunda, Capleton, Richie Spice, Queen Omega, Jah Mason, Pressure, Willie Williams, Taïro, Blacko, Mo’ Kalamity et Skully Simms)
Francis (weedy) Quilbé, percussionniste depuis la fin des années 70 (Bad Ronald, Ben’s Belinga, les Blancs d’Afrique, Ouidy et les Groovers et Africabliz’e et Couzins Zoreil, Goûroôts…)
Emile Puyeo, Guitariste (Goûroôts, et autres groupes de jazz et reggae)
Anildo Silva, percussionniste et multi-instrumentiste depuis plus de 20 ans (Manu Dibango et le regretté Guem, créateur de « le serpent » qui a servi de générique pour l’émission ‘çà se discute’ de Jean Luc Delarue NDLR).
Section cuivre, en avant !
Eric (Rico) Gaultier, saxophoniste et flûtiste de talent (Paco Séry, Groundation, Luciano, Takana Zion, Joe Ariwa et Mad Professor) on a pu le voir aussi récemment lors de la tournée d’adieu de Max Romeo.
Antonio Tritta, saxophoniste (Ben l’Oncle Soul, Tiken Jah Fakoly, Tonton David…). En 2017, il monte le quintet original Hard Bop…
Des choristes au grand coeur.
2 femmes qui ont une carrière phénomélae dans le reggae mais aussi dans d’autres styles musicaux, dans nos pointures francaises :
Valérie Tribord, repérée par Kassav, a chanté pour Cesaria Evora, Jocelyne Labylle, Perle Lama, Slaï, Tonton David, Melgroove, Faudel, Boney M, Tiken Jah Fakoly, Francky Vincent, Alpha Blondy, Manjul , Bernard Lavilliers, Lorie, Bob Sinclar. Elle mène de front une carrière de chanteuse soliste.
Dominique Larose a chanté pour Bernard Lavilliers, Lio, Pierpoljak, Tiken Jah Fakoly, les Neg Marrons, Princesse Erika, Pierpoljak, Manu Dibango, Intik, Mc Janick, Ralph Tamar, Taïro, Colocks, Gérard Lanvin, Florent Pagny)
Les meilleurs studios
PulsaSion enregistre et mixe l’album au No joke Studio, basé à Villejuif (94) avec l’ingénieur du son Louis Martin. Celui-ci avait déjà travaillé avec PulsaSion sur leur précédent album La vraie révolution (2014) et Stronger (2017). Ce studio est réputé et a vu en ses murs Max Romeo, Colocks ou encore Daman.
Le mastering de l’album, lui est confié à Patrick Plissman qui a travaillé avec Steel Pulse, Pablo Moses, Burning Heads, Saïan Supa Crew. Il a masterisé aussi les albums Human Race et Eternity du grand Alpha Blondy. Patrick Plissman, travaille régulièrement avec le No Joke Studio et c’est vraiment un duo gagnant !
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