L’international guinéen Ibrahima Cissé a fait son mea
culpa quelques heures après son craquage complet sur les réseaux
sociaux.
Un moment de patience dans un moment de colère empêche mille
moments de regrets. Ce proverbe, Ibrahima Cissé en fait l’amère
expérience après avoir vrillé contre le sélectionneur de la Guinée,
Kaba Diawara, qui l’a snobé dans la liste des 25 éléments convoqués pour
la CAN 2023, laquelle démarre dans trois semaines (13
janvier-11 février 2024). « Ce coach de merde. Faut
insulter sa mère à ce coach (c’est même pas un coach). Ce pays
fonctionne à l’envers. Du jamais vu. Zéro cohérence. Je ne suis pas
d’humeur hein, les gens qui vont venir défendre ce coach, je vais
insulter sa mère et le bloquer », peut-on lire sur le
compte Snapchat du joueur passé par le Standard de Liège.
« J’assume et je demande
pardon »
Ayant pris la mesure de son pétage de plomb, le milieu défensif
a fait amende honorable lors de son passage sur la chaine guinéenne
CIS TV. « Ce qui s’est passé hier, ce n’est pas
moi qui ai écrit. C’est mon ami qui a écrit », a-t-il
tenté de se justifier. « J’ai supprimé mais les gens
avaient déjà capturé. Mais j’assume et je demande pardon à
Kaba Diawara avec qui j’ai une bonne relation, pardon au coach et
au peuple de Guinée », a-t-il ajouté.
Quoi qu’il en soit, le pensionnaire du FK Oural en Première
Ligue russe (13 apparitions cette saison) s’est littéralement
sabordé, puisque son dérapage a sans doute sonné le glas de son
aventure avec le Syli National. De son côté, Kaba Diawara ne s’est
pas encore exprimé par rapport à cette sortie de route. Sa réaction
est d’ores et déjà très attendue…
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