Amélie Oudéa-Castéra était l’invitée de « Bonjour ! La Matinale TF1 », ce lundi.
La ministre des Sports a affiché sa sérénité à moins de 100 jours des Jeux olympiques.
Le recrutement d’agents de sécurité n’est toutefois pas terminé, puisque 8000 postes restent aujourd’hui à pourvoir.
Suivez la couverture complète
Les Jeux olympiques 2024 à Paris
Les JO de Paris approchent à grands pas, et la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra estime que la France est dans les temps. Le niveau de préparation actuel ? « Huit » ou « huit et demi » sur 10, a-t-elle estimé lundi 22 avril dans Bonjour ! La Matinale TF1. Si la dernière ligne droite est aujourd’hui entamée, quelques défis restent à surmonter. Pour assurer la sécurité notamment, avec le recrutement de professionnels qualifiés.
Tenir compte des risques de « no show »
La représentante du gouvernement l’assure, il n’y a « pas d’inquiétude » à l’heure qu’il est. En ce qui concerne l’embauche d’agents de sécurité, « on a rehaussé nos objectifs récemment », assure-t-elle, de manière à « tenir compte des risques de no show », c’est-à-dire « le fait qu’il y ait des non-présentations le jour J ».
En pratique, « la volonté est d’avoir 28.000 entrées en formation, pour 20.000 recrutements ». Un objectif affiché qui n’est pas atteint en cette fin avril, puisque « nous sommes à un peu plus de 18.000 entrées en formation, pour près de 12.000 recrutements ». Amélie Oudéa-Castéra estime néanmoins que « le plan de charge est là », avec une « mobilisation sous la houlette du préfet de la région Île-de-France, avec les équipes de France Travail et l’ensemble des entreprises attributaires des marchés et du comité d’organisation ».
-
Lire aussi
J-100 avant les JO de Paris : dix dates-clés jusqu’à la cérémonie d’ouverture
Au cours de cet entretien, la ministre a également évoqué la cérémonie d’ouverture. Elle n’a pas souhaité évoquer les plans B ou C qui seraient à l’étude, préférant mentionner les répétitions prévues en juillet pour le plan A, sur la Seine. Le scénario privilégié, « sur lequel nous travaillons massivement », a-t-elle insisté. Un suivi de la menace continu est assuré, poursuit Amélie Oudéa-Castéra, et « prêts à être agiles si jamais des réactions devaient être apportées ».
Crédit: Lien source


Les commentaires sont fermés.