Ophélia Jeanneret, la maîtrise du feu

D’autres parleraient de passion. Ophélia Jeanneret préfère dire «le feu». «Il brûle là», précise-t-elle en se frottant le ventre. Feu du phare qui guide le marin: s’il crépite, c’est que la jeune quadragénaire empoigne le bon projet, au bon moment, avec les bonnes personnes. Feu qui propulse la locomotive: il lui insuffle l’énergie dont elle a besoin pour mener de front vie de maman et carrière de dirigeante.

Il fallait la flamme vive pour accepter, en 2022, le poste de directrice des Sports universitaires lausannois. Venaient de s’y succéder Georges-André Carrel (1991-2013) puis Pierre Pfefferlé (2013-2022), deux fortes personnalités connues et reconnues, deux figures du campus indissociables du LUC Volleyball. Ophélia Jeanneret, elle, s’épanouissait depuis six ans à la tête du Service des sports de la ville d’Yverdon-les-Bains, où elle était très appréciée. Mais le feu qu’on n’alimente pas de nouvelles bûches menace de s’éteindre.

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